La mort / texte / 28/07/04

La seule conscience que l'on a de la mort, c'est son reflet; elle se reflette partout, nous empoisonne avant de nous emporter. Pire qu'une délivrance, bien plus austère que tout évènement empirique ou non, celle ci nous insupporte lorsqu'elle nous touche de près.
Notre incohérence nous pousse à l'accepter, à la désirer même parfois, alors qu'elle devrait nous extirper, nous faire vomir à en mourir. Je veux me nourir de cette incohérence pour fonder ma dernière demeure, ma force de vivre, car il s'agit bien d'une force si l'on considère la puissance destructrice qu'elle possède. La mort reste certes un objet de grande manipulation, elle est avant tout institutionnalisée de manière à rendre acceptable l'idée de disparaître. Cette idée, si effrayante soit elle pour mon humble personnage, doit être refoulée pour ensuite surgir à tout instant et faire de nous ce que nous sommes, des humains destructeurs et courageux.

à faire remonter

idem

Je n'en pense pas moins.

C'est un texte des hauteurs

Je ne me rappelais plus de la precision de mon texte. Je l'aime beaucoup, il me fait peur meme.

Pako s'émerveille de lui meme, que c'est beau

je t'aime

Moi aussi... je l'aime

En fait, moi aussi.
Dsl de vous l'avouer si tard, mais je vous aime.

ce trop plein d'émotion a failli me faire perdre mes moyen en plein projet ada...
J'en suis bouleversé rien qu'à tous vous lire... bravo mesdames

J'en suis sans voix

Merci pour ta perte de voix..

J'ai pleuré en lisant ce texte.


J'ai menti en écrivant cette phrase.