Ida

Après-midi assise sur un fauteuil. Courte promenade du côté de la salle de bain en remâchant cette phrase de moi-même : « je ne suis bien que dans ma peau. » ça doit être pour ça que je suis mal si souvent… sortie au balcon où je fais des étirements : les vertèbres du cou semblent satisfaites et les yeux surpris : le bâtiment d’un face est à nouveau en travaux et je sens tristement, devant le spectacle qui donnent ces maçons en short et en t-shirt, que le problème de la vie, c’est qu’elle soit de plus en plus décevante à mesure qu’elle devienne de plus en plus longue. Je ne sais pas si c’est valable pour tous, mais pour moi, ces ouvriers qui passent la journée à monter et descendre des échelles ne me font plus rêver. De surcroît, je pense aux inconvénients de leur présence notamment le bruit qu’ils font. Mais il y a quelques années un tel spectacle m’aurait obligé à imaginer que le petit blond aux semelles en caoutchouc sautait sur ma baranda au moment de la pause déjeuner :
- tu lis quoi ?
- des poèmes.
- De qui ?
- Jeanne la folle.
- Savais pas qu’elle écrivait.
- Ça a l’air paradoxal, mais paraît-il que les obsédés ont besoin de diversité, et l’art leur fourni des bons moyens… je peux te lire un si tu veux, ça te fera une découverte.
- Vas-y, j’ai une vision très poétique du monde, tu sais, en général les gens ne comprennent pas que je puisse voir de la beauté dans la pierre et le ciment.
- T’en fais pas, les gens ont toujours été cons et ça va pas changer du jour au lendemain. Prépare ton cœur, j’y vais :

Attention à ta mémoire, pas à tes amours
Aux tricheurs, pas à tes cartes
Aux vitamines, jamais à l’effort
Et au temps qui passe, qui passe, qui passe.

Attention aux quais, pas aux trains
Aux fleurs, pas aux épines
Au bonheur, jamais aux larmes
Et au temps qui passe, qui passe, qui passe.

Attention au cancer, mais pas à tes seins
Aux conducteurs, pas aux voitures
Aux gilets de sauvetage mais jamais à la mer
Et au temps qui passe, qui passe, qui passe.

Attention à ta porte, pas à ta clef
Aux cœurs, pas aux mots
Aux charmeurs, jamais aux serpents
Et au temps qui passe, qui passe, qui passe.

- très joli… en fait, c’est le temps qui la rendait triste, tu trouves pas ?
- c’est possible.
- Et toi, qu’est-ce qui te rend triste ?
- T’es curieux pour un maçon, toi… tout à l’heure quand je te regardais enlever les portes, je me suis dit que c’était dommage d’avoir perdu les illusions, avant, j’aurais imaginé que tu sautais dans mon balcon, ouvrais sauvagement ma fenêtre et volais ma seule culotte non trouée pour te masturber avec, à la lumière des bougies, sur ton fauteuil préféré. Mais ça fait des années que ça ne m’arrive plus de rêver comme ça.
- Mais je suis là, sur ton balcon, et si tu vas me chercher un verre d’eau je profiterai pour dévaliser tes tiroirs…
- Parce que tu n’as pas perdu tes illusions… mais ce dont tu parles, c’est de la réalité. Voilà ton collègue qui t’appelle, il n’a pas l’air content de bosser tout seul.

Il y a un con qui m’empêche de me connecter sur mon site préféré … que faire ? Une gifle ? Une pipe qui dégénère en morsure de tous les degrés ? Un lapin aux pruneaux avec trop de sel et des oignons ? Pourquoi il me fait ça, moi qui suis si douce et gentille en permanence ?... il faut être très malade pour éprouver un tel besoin de frustrer les gens ! Le sadisme, c’est la plus grave des psychopathologies… bon, je vais prendre une douche.

Désireuse d’être oubliée, je me suis endormie. Au petit matin j’avais du sang coagulé sur mes cuisses : mes règles avaient commencé à couler dans la nuit, une nuit où tout le monde m’avait oublié, tout le monde, sauf mon organisme. Je suis un organisme vivant ! Il ne faut pas que je l’oublie si je veux être juste. La suite de ces réflexions je l’ai faite dans les cabinets où je m’étais rendue pour faire pipi. Quel torrent ! Un torrent furieux et troublé par la couleur du communisme. J’étais là, les yeux plus vastes que leurs orbites, les jambes très écartées, la tête penchée sous le poids de mes idées hirsutes, mais mon esprit était occupé avec cette histoire d’organisme. Voilà. C’est cela le début de ma journée. Je récapitule : le cycle menstruel, l’expulsion des toxines, le travail intellectuel…et le reste de ce jour inoubliable devait être conditionné par ce merveilleux démarrage. En effet, j’ai crée un blog aujourd’hui. Pour me raconter mes mouvements naturels, le va-et-vient de mes émotions, le flux de mes pensées, la tombée d’un poil, la naissance d’une ride, je trouve tout ce qui me concerne d’un intérêt inégalable. Universel et Unique. Je tape donc ces lignes pour le plaisir de parler de moi, prenons un exemple : mentionner ce liquide chaud qui abandonne ma vessie me rend presque aussi heureuse que l’acte même d’uriner. Et pourtant, le mot chien n’aboie pas…c’est Barthes qui l’affirme. Ça n’a pas l’air d’être faux mais il aurait pu nuancer un peu.

Quand la colère avance sur des roues, les cris donnent le vertige. Et qu’est-ce qui m’arrive quand tout se succède, le soleil et la pluie, les jours et les nuits, les étés et les hivers, les rires et les pleurs ? Au commencement était le verbe. Les lunes et les digestions, les morts et les absents, on se résigne. Les 25 premiers coups on proteste, on se venge, on riposte. Le 26ème on n’a plus de force pour réagir. On subi. On pisserait sur les pervers mais il aurait fallu boire de la bière avant. Il faut tout prévoir. On écrit. On enroule sa haine dans une ivresse qui éclate comme un orgasme. On s’idolatre davantage. Je baise avec mon ombre. On s’ennuie. J’ai envie de te tuer. Salaud. Sors de mon ventre, Alien...et baise avec moi. Je mouille. Dit autrement, on ne noie plus les peines dans l’alcool. Tu m’encules. Et pourtant c’est à Rilke que je pense, enfermé dans un château il écrit un poème immortel pour son épouse : Ô chère déesse, que nos tendres caresses nous expulsent de l’enfer…bon, ça aurait pu être de Rilke mais le rythme est de Baudelaire.

Je suis trop bonne pour ce monde. C’est un constat que je fais tous les jours. J’aurais préféré naître ailleurs ou ne pas naître du tout mais personne ne m’a demandé mon avis. Certes, rien ne m’empêche de rester là où l’on m’a déposé. Une promenade en kayac sur les eaux violentes de l’Erdre peut finir tragiquement, surtout en hiver et sans gilet de sauvetage. Mais ça coûte 5 euros de l’heure et en une heure je ne pourrai aller assez loin pour admirer les châteaux de cette magnifique vallée que François I qualifia comme la plus belle de France. J’y repenserai quand j’aurai les moyens de me payer une demi journée.

Après un court passage sur mon blog, Alien m’a fait part de son mécontentement, il ne veut plus que je pense aux poètes pendant le coït. J’ai essayé de lui expliquer que ma pensée est libre, que j’ai beau vouloir penser à lui, à autre chose ou à rien, elle fait ce qu’elle veut. Mais Alien ne croit pas un mot de ce que je dis. A l’entendre, on dirait que je le trompe consciemment avec des gens qui sont morts depuis des dizaines d’années. La prochaine fois je mentirai. Je lui dirai : tu m’encules. Et c’est précisément à toi que je pense, enfermé dans les chiottes tu fais des mots croisés ou tu lis l’Equipe…ne m’attends pas, je ne pourrai jouir.

Elle se sentait bouchée, comme ces bouteilles qu’on vend aux touristes avec de l’air du pays visité. Si quelqu’un avait essayé de la déboucher elle aurait crié « assassin » de toutes ses forces –maigres forces puisqu’elle jeûnait depuis 3 jours dans le cadre d’une purification spirituelle. En effet, après avoir échoué dans la recherche du salut via le pénis comme prône Henry Miller, elle s’essayait maintenant à la méditation trascendentale.
Ce dont je parle a eu lieu il y a un mois mais il est important de le rappeler pour comprendre la suite : à l’arrêt du bus un beau garçon aux yeux d’émeraude de culture lui a offert gentiment un mouchoir en papier. Je ne me mouche jamais avec du papier, répondit elle. Puis le mâle s’est éloigné à bord d’un bus, un autre bus, un bus étranger qui glisserait peut-être sur le verglas.
C'est-à-dire qu’il a fallu un mois pour boucler cette histoire dont la fin aurait pu être bien différente s’il avait vu Baisers Volés. Par exemple :
-je ne me mouche jamais avec du papier.
-ce n’est pas grave, moi, je suis définitif.
-tu fais quoi ce soir ?
-je vais regarder Domicile Conjugale sur la 5, et toi ?
-ma télé est tombée en panne.
-ça tombe bien, mon boulot consiste à résoudre ce genre de problèmes.
-je préfèrerais qu’on attende encore un mois pour se voir.
-comme tu veux, puis-je t’écrire ?
-ce serait une joie…et une souffrance.
-là tu changes de cap !
-mais on est toujours sur la même vague…
Comme tout le monde l’a compris, y compris elle-même, cette fin avait une possibilité sur un milliard de se produire. Mais la vie continue, et après l’automne vient l’hiver. Et en automne comme en hiver il pleut sur Nantes.

Au commencement était le sperme… Je ne suis pas une obsédée sexuelle mais une angoissée comme nous tous, d’ailleurs. Et l’origine de cette angoisse interminable, inguérissable, intrinsèque à l’espèce humaine se trouve dans la peur de perdre le pénis : les hommes de ne pas bander, les femmes de ne plus séduire. Viagra ou liposuccion, il faudra accepter qu’un jour la seule réponse au manque de désir sera l’onanisme. Mais attendant… que le sperme jaillisse !

Enfermée volontairement dans ma chambre pour mettre à jour mon blog dans la solitude et la souffrance, comme on met au monde un enfant maudit –impossible de ne pas penser à cette malheureuse Héloïse criant de douleur dans sa grotte- je repasse en revue les derniers événements qu’ont bouleversé tout mon être : Je croyais que IL était LUI, pourtant Rimbaud nous met en garde avec son « je est un autre que moi ». Désormais pour éviter ce genre de malentendu je t’appellerai TU et le jour où tu seras gentil envers moi je t’appellerai NOUS. J’en conviens c’est un peu compliqué mais à part toi et moi, ça n’intéresserait personne.
La répétition du verbe mettre (3 fois) n’est pas fortuite…putain, qu’est-ce que tu me manques !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J’ai pris l’habitude de les lire, les mots de cet inconnu… peut-être parce que j’ai l’impression de lire mes propres mots. Mais il doit y avoir d’autres raisons. Plein de raisons qui justifieraient cette fidélité étrange… enfin, aujourd’hui la nostalgie règne, je n’ai pas beaucoup d’orgueil et aucune envie non plus de mettre à jour ce journal public. Je me contenterai donc de faire papier coller de quelques souvenirs… c’est du vent tout ça Ida, allez, réveille-toi, t’as pas fini tes devoirs et il t’ignore complètement le mystérieux inconnu… que veux-tu, une histoire imaginaire aussi puissante que celle de Fournier…? Regarde-toi, tu n’as même pas le désir d’écrire des choses désagréables… tiens, prends mon mouchoir… voilà, c’est mieux comme ça, avec le sourire…


09/03 11:51:26 tibawbaw ida Bah je n'ai pas dit que je n'aimais pas recevoir de bonnes critiques... je voulais juste dire que les critiques un peu plus sévères ne sont pas forcément mauvaises, elle servent à avancer
Lu: oui Sauv.


08/03 21:08:05 ida tibawbaw Je vais te décevoir, alors…parce que c’était de la critique pr dire "c’est très bien, j’adore"…mais reformulé, avec mes propres mots…TOUT DE MEME… ;-)

Mais j’ai été franche…jusqu’au cynisme…

Dors tranquille : je ne t’en veux pas… (f)

Désolée…on rapporte encore le test, ms ça tombe bien : je pourrai faire autant que…l’autre. Ne me contredis pas, stp.
Lu: oui Sauv.


07/03 23:44:46 tibawbaw ida Pour la critique, oui, absolument, je n'ecris pas pour qu'on me dise "c'est tres bien j'adore", mais je veux qu'on soit franc avec moi!
Pour ce qui est du 2+2=4 et 4=2+2, je tiens à rappeler que je ne suis qu'un pauvre scientifique à la base. Aucune éducation littéraire (ou alors je le suis auto formé, ce qui ne veut pas dire bien formé).
Alors il ne faut pas trop m'en vouloir.
Lu: oui Sauv.


07/03 20:40:28 ida tibawbaw similaires ? pourtant l’ordre n’est pas le même…c’est très important, l’ordre, malgré que 2+2 = 4 et 4=2+2… on peut pas tout ramener aux mathématiques, tibaw, surtout pas à midi.

petite digression : j’avais écrit un texte critique sur ton Urine…(oui, j’y suis toujours…ça relève presque de l’acharnement…) mignon comme tout, rien à voire avec ses dégoûtantes excrémentations que personne ne lit…me donnes-tu la permission de le poster ?

la suite du test demain… sinon ça risque de te faire trop de lecture… et les fourmis vont faire la gueule…
Lu: oui Sauv.


07/03 12:25:39 tibawbaw ida les deux premieres solutions 'a' et 'b' me semblent assez similaires.
Mais bon, je ne vais pas renseigner que la jolie, tout de même!
Surtout que même par exemple si c'est un mec je vais lui donner des tuyaux...

Donc je dirai 'd': je renseigne les deux, que ce soit deux jolies, deux moches, deux mecs ou deux babar les rois des elephants
Lu: oui Sauv.


06/03 16:14:09 ida tibawbaw Ça te fait une réponse "b"…

Question numéro 2 :

si 2 pseudos différents appartenant à 2 personnes différentes te demandent un renseignement dans un site étranger :

a) tu renseignes d’abord la plus jolie
b) tu renseignes en second lieu la moins jolie
c) tu ne renseignes que la plus jolie
d) autres

NB : si réponse "d", justifier sa réponse…
Lu: oui Sauv.


05/03 00:48:05 tibawbaw ida Pour trois personnes je donne des réponses personnalisées! Tout de même.
Lu: oui Sauv.


04/03 21:14:02 ida tibawbaw Alors, question numéro 1 :

Si 3 personnes différentes te parlent en même temps :

a) tu donnes une réponse globale valable pour les 3
b) tu donnes une réponse personnalisée
c) tu réponds pas
d) autres

NB : si réponse "d", justifier sa réponse…
Lu: oui Sauv.


02/03 11:22:29 tibawbaw ida Oui, j'aime bien passer des tests, alors alons y pour le test de receptivité!
Lu: oui Sauv.


01/03 20:27:22 ida tibawbaw écoute, tibaw, chacun son métier : le mien ne consiste pas à délivrer des pizzas mais de doux conseils… mais ne te méprends pas : je ne suis ni pour ni contre les pizzas, bien au contraire… :-P

Sinon, il serait souhaitable de te faire passer un test pour évaluer ton taux de réceptivité. Serais-tu d’accord pour subir ce test ?...
Lu: oui Sauv.


28/02 09:08:44 tibawbaw ida Soit dit en passant j'aime bien les pizzas.

Je n'ai pas que des veretues, loin de là (d'où le besoin de conseils!)
Lu: oui Sauv.


27/02 17:23:00 ida tibawbaw Tu es très obéissant, c’est très bien aussi…je vais finir pour croire que tu n’as que des vertus… ;-)

Là je réfléchie à la forme : on ne livre pas un conseil comme on livre une pizza…loin de là !...

Continue à être patient, tu vas voir, cela sera très doux… (f)
Lu: oui Sauv.


26/02 12:54:03 tibawbaw ida Lol... bon j'attends alors... c'est une vraie leçon de vie dis moi! Je vais faire comme dans les films: faires les cent pas en sifflotant et en me tournant les pouces....
Lu: oui Sauv.


26/02 10:41:27 ida tibawbaw Il faut pas regretter ton comportement passé : t’as été spontané, irréfléchi, c’est bien, ça…

Maintenant la curiosité te mange, dans ta jolie p’tite tête tu t’as demandé de milliers de fois ce qui pourrait bien être ce putain de conseil… mais pense aux résultats : mon conseil sera plus précieux du fait qu’il a su passer par les différentes étapes, sans en brûler aucune…

Persuadé ? pas tout à fait ?...bon, rassure-toi, ça va pas durer longtemps, cette attente… :-P
Lu: oui Sauv.


25/02 18:01:07 tibawbaw ida Roh noooooooooon! Allez, s'il te plait! lol, jsavais que j'en faisais trop, j'aurais juste du dire oui!
Lu: oui Sauv.


25/02 16:50:23 ida tibawbaw ô ô ô …on se calme…d’abord on dit "je voudrais"… <)

Je vais me faire désirer un peu…puis je te le donnerai, ce conseil… :-P
Lu: oui Sauv.


25/02 13:34:01 tibawbaw ida Vas y, donne moi le conseil, je veux savoir!!!
Lu: oui Sauv.


24/02 16:07:12 ida tibawbaw Mais je ne suis pas les autres : je suis exceptionnelle… ! tu as donc le double de mérite !! (à mettre en rapport ac la culture…)

Dis-moi, tibaw, je peux te donner un p’tit conseil ?...si tu me donnes le feu vert…je me lance… ah, la timide…

P.S excrémentation laborieuse (A) sort demain…c’est le texte que m’a inspiré ton urine, et comme tu m’as dit de te prévenir…j’exécute… qt à l’orthographe des patronymes… c’est juste une coïncidence…bien évidemment…

(f)
Lu: oui Sauv.


24/02 12:31:05 tibawbaw ida Les autres n'ont toujours pas compris car ils sont *** lol! Non, mais franchement, ils ne doivent pas avoir un gramme d'humour, ça doit etre pour ça.

Pour ma culture... hum hum... tu dois te tromper, elle ne doit pas dépasser celle des autres!
Lu: oui Sauv.


23/02 16:46:10 ida tibawbaw A propos du second degré c’est vrai que tu le dis très souvent…et d’autres aussi le disent, presque dans les mêmes termes que toi, mais ils ne sont pas nombreux…alors pourquoi la majorité ne comprend toujours pas ? et s’obstine à polluer ton forum, pourtant fort intéressant, comme l’a si bien remarqué ce brave de spy ?...voilà toutes les questions que je me pose…t’auras fait parler de toi, en tout cas…

P.S : par rapport à tes lectures, désolée, mon cher…ta culture me dépasse… ;-)
Lu: oui Sauv.


23/02 08:06:54 tibawbaw ida Tarés et mystificateurs je suis tout a fait d'accord... ils ont de gros problèmes, voilà tout. Surtout qu'ils ne comprennent même pas le second degré, je n'ai jamais voulu tuer les bébés...
Lu: oui Sauv.


22/02 19:10:29 ida tibawbaw t’es pardonné… ;-)

J’ai vu que ton article sur l’infanticide est tout un succès… je ne sais pas trop quoi penser : des tarés ? Des mystificateurs ? Des demandeurs d’emploi en fin de droits ?... t’en penses quoi, toi ?...
Lu: oui Sauv.


22/02 10:28:56 tibawbaw ida Oups, oui, Roland Barthes, en effet!
J'essaie de rattraper mon incroyable retard littéraire...
Vive les fourmis (fini hier), et vive Beigbeder (je vais commencer son seul livre que je n'ai pas encore lu dès ce soir...)
Lu: oui Sauv.


21/02 15:53:03 ida tibawbaw Dis donc…tu fais des lectures intéressantes, toi…

Juste un reproche : il manque un "h" à Barthes… :-P
Lu: oui Sauv