Moisson hostile / poeme / --/03/02

Moisson hostile

La poudre visqueuse s’agglutine sous les murs,
La mélancolie peut frapper les modestes tâches d’encre.
Mais l’absence d’harmonie démolit l’originalité
Qui avait pourtant été tant souhaitée durant des siècles.

Que se reprocher alors ? Peut-être l’activité inconsciente du vent,
L’irresponsabilité du monde extérieur,
Ou même l’incohérence des serrures à double-tour
Dont la curiosité cisaille les styles les plus aléatoires…

Je me moque su temps ; il respire nos artères,
Et aggrave les tensions inutiles
Sans égarer le parchemin des hostilités.
J’abandonnerai ; du haut des cèpes, la vie est plus tempérée.

Moisissure horrible

Les poutres virtuoses s'égratinent: sourd et muet,
Le mal en collique (peu frappé), les mots d'Ernest, tachent ma tante.
Mets l'encens d'Algérie ramoli l'orgie alitée,
Qui lavait pour toi les temps saouls l'été, durement les miettes.

Qui s'est racroché à l'or? Peu d'êtres réactivent l'été la confiance durant.
Les restes d'oncle Billy T. Dumont, l'index en terreur,
Où mène le con? Et rends ce dé, se rua Doug le sourd.
Donc, l'accu rose était "Seem I least", ila pu aller à toi.

Jeu de moquette d'antant, il est pire que notre père.
Le rat gave l'étan, sony lutine.
Son nez garé par le chemin, des os tuent l'été.
Je banderai, duo des hêtres, l'avis n'est plus tant aimé.

Jolie paraphrase.

Je suis.

C'est ce qui m'a pris le plus de temps

Je m'en suis doute, et te remercie pour cet honneur. Vieux porc, ouvrons nos entrailles pour faire avancer la planete tabapreciste.

avec plaisir, tu commences?